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Avis série : The Good Doctor

Salut à toi mon cher Sapiens, alors comme ça on est enrhumé en ce début d’automne ? Tu aurais bien besoin d’un bon docteur non ? un « Good Doctor » 😉
Sur ce jeu de mots pourri tu auras compris que je viens te parler de la nouvelle série de David Shore le créateur de Dr House, qui reste dans l’univers médical avec The Good Doctor.

Avant de rentrer dans le vif du sujet un petit historique, la série est adaptée d’un show sud-coréen du même nom et l’ami David accompagné de Daniel Dae Kim (le Jin de Lost) a eu la bonne idée de rapatrier le concept aux Etats-Unis.
On va clarifier les choses, ne cherche pas dans cette série un nouveau Dr House, le ton est bien différent. Si House savait naviguer habillement entre bonne doses d’humour et de dramatique, The Good Doctor se positionne clairement en série dramatique.

Alors attention dramatique ne veut pas dire qu’on pleure à longueur de temps mais on ne rit pas non plus…
Dès le 1er épisode le ton est donné, c’est triste. Voilà. Mais aussi très touchant. On va parler tout de suite de la performance de Freddie Highmore (le Good Doctor donc qui a bien grandit depuis Charlie et la chocolaterie).

Avis série Netflix : Good Doctor
Avis série Netflix : Good Doctor

Ah oui, j’oublie un léger détail : le synopsis de la série…

Shaun Murphy est un jeune chirurgien qui intègre un hôpital à San José pour effectuer son internat. Jusque-là rien de fou fou me direz-vous, et bien Shaun est autiste… et voilà la bande annonce de la saison 1.

Pour ceux qui ne serait pas familier avec cette condition, les autistes sont des personnes chargées d’émotions qu’elles ne peuvent pas contrôler, les rapports humains ou sociaux de bases leur sont très compliqués voire impossibles, les contacts physiques également, la communication, le simple fait de regarder quelqu’un dans les yeux est un défi.

Voilà maintenant je reviens à la performance de Freddie qui se glisse dans la peau d’un jeune homme atteint d’autisme, et c’est là que le jeu d’acteur est bluffant. Le jeu est juste, vrai, très touchant. Il s’est approprié la gestuelle, le langage corporel, le ton dans la voix, le débit de parole, les expressions de visage. Bref tu l’auras compris c’est plus que réaliste et sa nomination au Golden Globe du meilleur acteur de série en témoigne.

Cependant le reste du casting n’est pas en reste, et s’il est compliqué de jouer un autiste, il n’est pas plus simple de jouer avec un autiste, et de rendre la chose crédible.
Sans entrer dans le détail, les autres acteurs de la série sont tout aussi bons, les relations sont intéressantes sans entrer dans les clichés et on s’attache très vite aux compagnons de Shaun.

Avis série Netflix : Good Doctor
Avis série Netflix : Good Doctor

La saison 1 est achevée sur ABC et en cours de diffusion sur TF1. Les 18 épisodes passent très vite, comme je le disais on s’attache vite à ses personnages et à l’histoire qui évolue vite et bien.
Chaque épisode ressemble assez dans le concept à Dr House, c’est-à-dire, un cas médical assez improbable (ils ont dû reprendre les même consultants médicaux) qui va faire avancer l’histoire, faire évoluer nos héros et leurs relations. Globalement c’est bien ficelé, le scénario avance au bon rythme et chaque épisode donne envie d’aller voir le suivant. Pour une série, c’est donc pari gagné.

On a testé pour toi la nouvelle série médicale du moment, The Good Doctor et ça marche. Bons acteurs, histoire et situation prenantes et touchantes, la larme à l’œil quand il faut mais sans tomber dans le patos.

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1 commentaire pour “Avis série : The Good Doctor”

  1. Autisme ou pas, cette série comme toutes les autres du même genre sont d’une nullité absolue et ne ressemblent à rien, aucun réalisme de la vraie vie, ce n’est même pas de la fiction tant les dialogues sont idiots et stupides. Ce sont des séries pour cerveaux étriqués et pour les kékés… ou bobos mal finis !
    Rien ne vaut un bon polard français, bien de chez nous avec de vrais acteurs et pas des guignolos américains qui pensent que tout le monde les admire…. quelle tristesse.
    Quels modèles pour les futures générations, un grand n’importe quoi.

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